Dans son rôle régalien, le gouvernement de Patrice Talon a pris ses responsabilités face à la flambée des prix des produits de première nécessité. Il vient d’interdire temporairement toute exportation de maïs en dehors du pays dont le Niger, le Mali et le Burkina Faso.
En effet, des images des camions chargés de maïs et convoyés vers les pays voisins circulant sur les réseaux sociaux et les médias traditionnels ont suscité une vague d’indignation dans le rang des Béninois.
Avec plus de 2 millions de tonnes produites pour des besoins nationaux estimés à 1 million de tonnes, la situation a mis en lumière les failles du marché et les conséquences désastreuses de la spéculation.
Soucieux de répondre aux attentes de ses citoyens, le gouvernement a donc agi de manière proactive en interdisant toute sortie du maïs jusqu’à nouvel ordre vers le Niger, le Mali et le Burkina Faso.
Cette mesure devrait permettre de stabiliser les prix sur les marchés nationaux, garantissant ainsi l’accès des Béninois à cette denrée de base à des prix raisonnables.
Elle témoigne également de la capacité du gouvernement à agir rapidement et efficacement pour protéger les intérêts nationaux et répondre aux aspirations de la population.
Cette interdiction de sortie du maïs est un exemple concret de la manière dont le gouvernement peut prendre des mesures décisives pour faire face aux défis économiques et garantir la sécurité alimentaire du pays.
Elle renforce également la confiance des citoyens dans les institutions et démontre la capacité du gouvernement à agir de manière responsable et proactive pour le bien-être de tous.