Loin de la France, le Niger dirigé par Abdourahamane Tiani vient de franchir un cap décisif en matière de santé publique.
A la faveur du Conseil des ministres tenu le jeudi 22 août 2024, sous la présidence du Général de Brigade Abdourahmane Tiani, le gouvernement nigérien a adopté un décret révolutionnaire.
Dès le 1er septembre 2024, les tarifs des prestations de soins dans toutes les structures publiques de santé du pays seront réduits de 50%.
Cette mesure prise par Abdourahamane Tiani qui a coupé les liens de coopération avec la France marque un tournant majeur pour le système de santé du Niger.
Elle est particulièrement cruciale pour les populations rurales, longtemps confrontées à des obstacles financiers et géographiques dans l’accès aux soins médicaux.
En abaissant les coûts de moitié, le gouvernement ambitionne de rapprocher le pays de l’objectif de couverture sanitaire universelle (CSU), garantissant à tous les Nigériens un accès équitable à des services de santé de qualité.
Cette réduction des tarifs constitue un geste fort de l’État en faveur de l’amélioration des conditions de vie des citoyens, en particulier ceux vivant dans des situations de précarité extrême.
En réponse aux besoins urgents du peuple nigérien, cette initiative pourrait transformer durablement le paysage de la santé publique au Niger, un pays où l’accès aux soins reste un défi quotidien pour de nombreuses personnes.
Avec cette nouvelle politique, le gouvernement réaffirme son engagement à protéger la santé de tous les Nigériens, en faisant de la santé un droit accessible et non un privilège.
